À Thomas Bartholin, le 29 novembre 1662
Note [9]
« D’un voile sacré, la Nature a couvert bien des choses et nul mortel n’a le don de tout savoir. Beaucoup ne sont qu’à admirer et respecter, et il ne faut pas chercher à connaître celles qui sont au plus près des secrets. De fait, nous devons admettre que nous connaissons à peine ce que nous avons entre les mains, tant la vérité réelle est éloignée de nous. »
Ces vers son titées de la Chrysopée (Venise, 1515) du poète hermétique et lucrécien Giovanni Aurélio Augurello : v. note [11], lettre 191, avec la traduction en vers de F. Habert de Berry (Paris, 1626), qu’on poura préfére à la mienne