À Johann Georg Volckamer, les 10 et 28 mars 1664
Note [7]
« malheur au traître, malheur au captif, malheur au misérable » (Jérémie, 45:3) :
Dixisti væ misero mihi quoniam addidit Dominus dolorem dolori meo laboravi in gemitu meo et requiem non inveni.[Tu as dit « Malheur au misérable que je suis ! ». Le Seigneur accumule pour moi peines sur douleurs, je suis épuisé à force de gémir et ne trouve aucun répit].
Il y a divergence sur le pays d’origine de l’espion La Pause : Toulouse pour Hugues de Lionne, Nuits-Saint-Georges (Côte-d’Or) pour Guy Patin. V. note [9] de la lettre latine suivante, pour un complément d’information sur le sort de cet espion.