L’italique de la parenthèse est en français dans le manuscrit.
V. notes :
[11], lettre 726, pour l’édition des œuvres complètes d’Hippocrate (Leyde, 1665) par Johannes Antonides Vander Linden (dont Guy Patin convenait ici à demi-mot qu’il avait succombé à la peste) ; Arnold Senguerdius (mort en 1667) a aussi correspondu avec Patin ;
[14], lettre 585, pour le Hierozoïcon [Bestiaire sacré] de Samuel Bochart (Londres, 1663).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664, note 5.