À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664

Note [6]

V. note [4], lettre latine 353, pour ce que Samuel Bochart a écrit « sur le Paradis terrestre » et qui n’a été publié que dans ses Opera omnia [Œuvres complètes] (Leyde, 1692).

Avec son scepticisme « libertin » sur le paradis, tenu pour une possible rêverie de Moïse, Guy Patin semblait oublier ou ignorer que Vopiscus Fortunatus Plempius avait été élève des jésuites et resta toute sa vie fidèle au catholicisme.

V. note [5], lettre latine 232, pour la porta eburnea [porte d’ivoire] (par où passent les songes trompeurs, dans Virgile), qui est une référence païenne et non biblique.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Vopiscus Fortunatus Plempius, le 4 septembre 1664, note 6.

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(Consulté le 14/10/2024)

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