À N. Cordelier, le 4 février 1665
Note [4]
Traduction soigneuse, et que j’espère fidèle, d’un passage qui donne à voir les obscurs méandres et les contradictions de la théorie humorale des maladies : voici l’imaginaire atrabile (bile noire) rendue responsable d’une quarte prolongée, en s’accumulant, semble-t-il, dans les intestins ; mais pour ne pas empirer une situation (déjà calamiteuse), il faudrait purger doucement, en s’abstenant des drastiques (coloquinte, scammonée, noirprun, ellébore, etc.).