À Sebastian Scheffer, le 24 mai 1665
Note [12]
Page 6 (Paris, 1646), livre i, chapitre iii, De Aloe [L’Aloès (v. note [8], lettre 169)], ligne 14 (§ 9) : remplacer Mesue [Mésué] par Mesuei interpres [le traducteur de Mésué] dans Sapore debet esse subdulci, ait Mesue… [Au goût, il doit être douceâtre, dit (le traducteur de) Mésué].
Les œuvres du médecin persan Jean Mésué (Jahiah ibn Masouiah) ont été traduites en latin au xvie s. (v. note [25], lettre 156).L’édition de Francfort (1667, page 5) a appliqué cette correction, mais en laissant la virgule inopportune : ait Mesue, interpres.