À Werner Rolfinck, le 16 août 1666
Note [5]
« Ô dieux, faites que la terre soit subtile et légère aux ombres de nos ancêtres, que s’exhale de leur urne le parfum du safran, un printemps éternel ! Eux voulaient que le précepteur tînt la place d’un père respecté » (Juvénal, Satire vii, vers 207‑210).
Je suis revenu bredouille de ma chasse au portrait de Nicolas Piètre.