À Johann Theodor Schenck, le 6 novembre 1666

Note [5]

L’italique est en français dans le manuscrit.

« Il y a une sorte de thériaque appelée diatessaron [du grec dia, avec, et tessares, quatre], à cause qu’elle est composée de quatre ingrédients, qui sont la racine d’aristoloche, celle de gentiane, la myrrhe et les baies de laurier. Cet antidote est bon pour les maladies froides, tant du cerveau que de l’estomac. C’est aussi un remède contre la piqûre du scorpion et le poison avalé » (Thomas Corneille).

V. note [14], lettre 336, pour Cristofero Contugi, dit l’Orviétan, et sa panacée à laquelle Guy Patin donnait le nom d’opiate (v. note [6], lettre 81).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Theodor Schenck, le 6 novembre 1666, note 5.

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(Consulté le 18/04/2024)

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