À Johann Caspar Fausius, le 10 novembre 1666
Note [6]
« Ô les temps, ô les mœurs ! mais je préfère me taire, puissent les dieux nous ménager des jours meilleurs ! » : double référence, à Cicéron (v. note [52], lettre 292) puis à Virgile (v. note [5], lettre 33).