À Johann Georg Volckamer, le 4 février 1667
Note [2]
L’italique est en français dans le manuscrit.
Imprimés et manuscrits n’avaient pas la complète exclusivité de ce qu’échangeait Guy Patin avec ses correspondants : instruments et appareillages médicaux de petite taille, mais aussi graines de plantes ou médailles pouvaient parfois en faire partie.