À Samuel Sorbière, le 20 juillet 1646
Note [10]
Fidèlement traduite, cette curieuse phrase veut expliquer que Guy Patin entendait l’amitié comme un échange de services rendus, sans crainte de requêtes insistantes, voire harcelantes ; et ce tout particulièrement, bien sûr, pour la fourniture d’ouvrages imprimés, comme l’illustre la suite de son propos.