Autres écrits : Préceptes particuliers
d’un médecin à son fils
Note [29]
« Cela n’a rien à voir avec l’Édit du Prêteur » ; Pintard a :
« Le trait avait été rapporté par Jean-Papire Masson, dans ses Elogia, parus en 1638. » {a}
- V. note [11], lettre 35, pour cette édition parisienne. La Iacobi Cuiacii Iurisconsulti Vita [Vie de Jacques Cujas, jurisconsulte] s’y trouve dans le tome ii, avec ce propos (page 300) :
Ipse nihilominus Catholicæ religionis cultor fuit : quanquam de Theologicis quæstionibus interrogatus, respondere solitus erat, Nihil hoc ad Edictum Prætoris.[Il a néanmoins pratiqué la religion catholique ; mais quand on l’interrogeait sur les question théologiques, il avait pour habiture de répondre L’Édit du Prêteur ne dit rien là-dessus].
Rédigé sous l’empereur Hadrien, l’Édit perpétuel du Prêteur faisait foi dans le droit romain et figure en introduction du Digeste justinien (v. note [22], lettre 224).
Guy Patin a souvent cité les Elogia de Masson mais ne leur a emprunté l’expression Edictum Prætoris dans aucun des autres textes de notre édition.