Autres écrits : Préceptes particuliers
d’un médecin à son fils
Note [67]
« Tant que l’affection évolue et que le malade est affaibli, appliquez-vous à toucher l’argent ; {a} dès que l’affection est terminée et le malade raffermi, personne ne se soucie plus de payer. »
- En contradiction flagrante avec ce qui est écrit plus haut en français (commenté dans la note [43] supra) : « je vous défends de jamais demander ou faire demander de l’argent à malade. »