Autres écrits : Préceptes particuliers
d’un médecin à son fils

Note [67]

« Tant que l’affection évolue et que le malade est affaibli, appliquez-vous à toucher l’argent ; {a} dès que l’affection est terminée et le malade raffermi, personne ne se soucie plus de payer. »


  1. En contradiction flagrante avec ce qui est écrit plus haut en français (commenté dans la note [43] supra) : « je vous défends de jamais demander ou faire demander de l’argent à malade. »


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Autres écrits : Préceptes particuliers
d’un médecin à son fils, note 67.

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(Consulté le 25/04/2024)

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