Annexe : La circulation du sang expliquée à Mazarin
Note [11]
La « matière » dont parle Sorbière est bien sûr le sang, mais sa vision est erronée : faute de connaître le transport sanguin des gaz respiratoires, on croyait alors que les mouvements du cœur communiquaient au sang une chaleur (énergie) qu’il allait délivrer aux tissus périphériques. On pensait que les poumons servaient à rafraîchir le sang (au « dénouement de ses parties ignées »).