[3], lettre 333, pour les 61 signeurs de l’antimoine en 1652 ;
[5], lettre 873, pour l’arrêt du Parlement qui abolit, le 10 avril 1666, toute interdiction de l’antimoine, avec approbation de la Faculté de médecine de Paris le 16 avril suivant ;
[8], lettre 122, pour le décret de la Faculté du 30 juillet 1566 qui avait condamné l’antimoine en dénonçant sa qualité vénéneuse.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Procès opposant Jean Chartier à Guy Patin en juillet 1653, note 65.