Annexe : Noël Falconet, 60 ans après
Note [2]
« Ils feraient beaucoup de bien s’ils ne faisaient pas de mal » ; adaptation du fameux précepte hippocratique (Épidémies, livre i, chapitre 5, Littré Hip, volume 2, pages 635‑637) :
« Il faut avoir deux choses en vue dans les maladies : être utile ou du moins ne pas nuire. {a} L’art se compose de trois termes : la maladie, le malade et le médecin. Le médecin est le desservant de l’art ; il faut que le malade aide le médecin à combattre la maladie. »
- ωφελεειν, η μην βλαπτειν [ôphelléeïn, ê mên blaptein] ; un fameux dicton latin a encore mieux abrégé ce précepte : Primum non nocere [D’abord ne pas nuire].