Annexe : Préface de la première édition des Lettres (1683) et ses auteurs
Note [9]
« Je ne me soucie guère de Grevinius, Stengelius, Dessenius, Crato, Erastus, Iohannes Baptista Gemma, et autres, qui ont écrit contre l’antimoine ; non plus même que de Caspar Hofmann, qui a recueilli plusieurs faits non dénués de préjugés, et encore moins de Guy Patin, médecin de Paris, et de Charles Spon, médecin de Lyon ; et pas le moins du monde, de la sentence du Collège des médecins de Paris prononcée il y a 110 ans. {d} Tous ceux-là n’ont en effet pas connu l’emploi et les vertus de l’antimoine, ou n’en ont eu que des notions profondément erronées. »
L’Autobiographie de Charles Patin a commenté ce passage, qui est plus amplement cité dans sa note [55], avec des précisions sur les auteurs qui y sont mentionnés.