Annexe : Le point d’honneur médical de Hugues ii de Salins (1697)
Note [16]
« Je les invite donc à se calmer désormais et à cesser de médire, s’ils ne veulent pas que leurs médisances n’aillent les importuner eux-mêmes » (vers 22 et 23 dudit prologue, contre les critiques de théâtre).