Note [4]
V. note [25], lettre 156, pour Jean Mésué, médecin persan du ixe s. La description du séné occupe le chapitre 15, De senna, livre ii de son traité de Medicamentis simplicibus [des Médicaments simples], pages 85 vo‑87 ro dans ses Opera [Œuvres] commentées par Johannes Costa et Giovanni Manardi (Venise, Junte, 1568, in‑fo).
Les deux commentateurs nient que Dioscoride (au ier s.) et Galien (au siècle suivant) aient pu parler du séné sous le nom d’empétrum, et en attribuent les premières mentions certaines à Actuarius et Avicenne.