Note [17]
« d’où, dit-on, nul ne revient jamais » (Catulle, v. note [11], lettre 237).
Cette citation et d’autres références familières à Guy Patin (comme le renvoi aux « Médicaments officinaux » de Caspar Hofmann, v. supra note [16]), attestent de sa contribution à la présente observation ; mais il a plutôt relu qu’entièrement écrit le texte de Charles Guillemeau, comme je l’ai remarqué pour l’emploi du mot « panacée » appliqué à l’antimoine (v. supra note [2]).