Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Pièces liminaires
Note [9]
Guy Patin s’est toujours insurgé contre les juleps, en raison de leur origine arabe et de leurs vertus cordiales (v. note [7], lettre 135), mais il était lui-même grand prescripteur de (bons) sirops, notamment de roses pâles. Une traduction plus littérale (mais néologique) de son latin le rend franchement péjoratif et dissipe tout malentendu : « bézoardistes, julapistes et sirupiatres ».