Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II
Note [12]
« Dans sa jeunesse, en raison d’une consommation immodérée de fruits à toute heure, il fut sujet aux maladies. Par la suite, quand il sut vraiment que l’art consiste à préserver la santé et dès lors qu’il s’y est appliqué, il a joui d’un corps en bonne santé. »
C’est un résumé fidèle des confidences de Galien sur sa propre santé, qui se lisent à la fin du chapitre i de son livre De probis pravisque alimentorum succis [Des bons et mauvais sucs des aliments] (Kühn, volume 6, pages 756‑757).