Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II
Note [72]
« Il y a superstition ou forfanterie à vanter les remèdes de cet ivrogne et fanatique athée de Paracelse, dont l’estime fut jadis désapprouvée par l’École d’Hippocrate, et reléguée au rang des médecins hypocrites et des vieux renards, que rien au monde ne peut accréditer qu’une certaine rouerie agile et dont la tromperie fort habile ne consiste d’ordinaire qu’à amasser les paroles obscures » (Louis Duret, Hippocratis Magni Coacæ Prænotiones [v. supra note [62]], page 147, lignes 11‑15).