Note [14]
Témoin du léger désordre que Guy Patin a mis dans cette partie de ses Commentaires sur les actes de 1651‑1652 (v. supra note [13]), la seconde quodlibétaire d’Antoine de Sarte a déjà été détaillée plus haut dans ce chapitre (v. supra note [8]).
Les thèses quodlibétaires ici énumérées étaient les secondes que disputaient les cinq des six bacheliers de mars et octobre 1650 qui continuaient leurs études à Paris pour y obtenir la licence de médecine (v. note [9] des Actes de 1650‑1651). Viennent ensuite les trois cardinales de ceux qui ne les avaient pas déjà disputées en mars 1651.