Note [17]
Commentaire mis en italique bleu, car ajouté dans la marge par une autre plume que celle de Guy Patin (celle de François Blondel, me semble-t-il).
La Faculté tenait pour établie la coutume que le doyen endossât le déficit accumulé pendant chacune des deux années de sa charge, mais ce généreux acte d’abnégation était purement symbolique puisque son avance lui était intégralement remboursée lors des comptes de l’année suivante, pour alimenter finalement la dette de la Faculté (v. notes [30] des Comptes de 1650‑1651 et [18] de ceux de 1651‑1652).