Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑4 (1701)
Note [26]
« il dépend entièrement de sa bonne fortune. »
V. note [10], lettre 223, pour l’abbé Mondin, mort (de maladie) en 1650, homme de confiance de Mazarin, à qui il servait de « mercadent », vieil italianisme tiré de mercadente [marchand], c’est-à-dire d’intermédiaire dans l’achat et la vente d’objets de valeur (bijoux, œuvres d’art), dont le cardinal était fort friand.
Cet article du Patiniana figure dans le manuscrit de Vienne (page 81).