Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Grotiana 2
Note [54]
« Honore le démon qu’honore la cité. »
Henri Sauval, Histoire et recherches des antiquités de la ville de Paris, {a}, tome premier, page 324 :
« François de Malherbe, {b} Normand, passa la meilleure partie de sa vie en Provence, et le reste à la cour. […] Son père changea de religion, {c} mais il ne l’imita pas, ayant souvent à la bouche ces paroles assez libertines, que le poète Prudence {d} attribue à l’empereur Gallien, Cole dæmonium quod colit civitas. » {e}
- Paris, 1724, v. note [41], lettre 426.
- V. note [7], lettre 834.
- François de Malherbe, le père du littérateur, était conseiller au bailliage et présidial de Caen ; il s’était converti du catholicisme à la religion réformée.
- V. infra note [59] pour Prudence.
- Publius Licinius Egnatius Gallienus a régné sur l’Empire romain de 259 à 260. Sa Vie, écrite par Trebellius Pollion, figure dans l’Histoire Auguste : nombre de ses facéties y sont relatées, mais cette sentence cynique n’y figure pas.