Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 1 manuscrit
Note [40]
« Comment pourrais-je donc être joyeux quand l’aînée des Furies est couchée à mes côtés ? (Énéide, chant vi). »
La référence au chant vi (vers 605‑606) de Virgile est ajoutée dans la marge de gauche :
…Furiarum maxima juxta
accubat et manibus prohibet contingere mensas.[L’aînée des Furies, {a} couchée là auprès, empêche les mains de toucher aux tables].
Bayle (note K) s’est très longuement épanché sur la vie déréglée de Baudius. Son épouse se prénommait Sophie, et il lui en fit voir de toutes les couleurs.