Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-1
Note [39]
Sages conseils d’Horace (ouvrage cité, vers 38‑41), précédés de leur traduction française.
Guy Patin a cité une partie de ces vers dans sa lettre du 24 décembre 1658 à Charles Spon (v. sa note [11]), mais c’était à propos de deux apprentis médecins, Tobias Baugartner et son collègue dénommé Bouge.
Si cet article vient vraiment de Patin, le « fils de M. F. » pourrait être Noël Falconet (fils d’André, v. note [2], lettre 388) qui logea chez lui et dont il supervisa les études parisiennes de 1658 à 1662.