Annexe : Jacob Spon et Charles Patin, premiers éditeurs des Lettres choisies de feu M. Guy Patin
Note [10]
Les paragraphes manuscrits de Guy Patin correspondaient à une session continue de rédaction : ses alinéas ne suivaient pas ses idées, mais sa plume et son envie d’écrire, avec une constante volonté d’économiser le papier. Un saut de ligne y correspond à un changement d’heure ou, plus souvent, de jour.
Comme tous les précédents éditeurs des Lettres, j’ai été confronté au dilemme de leur mise en page : pour celles dont l’original est encore disponible, j’ai généralement respecté les paragraphes compacts de Patin, en dépit de ses incessants changements de sujet ; pour les autres, j’ai choisi la présentation qui m’a semblé la plus confortable à lire.