De Charles Spon, le 21 novembre 1656
Note [6]
« Salut ombre de mon cher Moreau, salut ombre bienheureuse ! Reçois chacune des larmes que t’offre Spon ! Qu’en retour elles te servent d’aspersion expiatoire, en s’écoulant du tréfonds de mon cœur. Mais hélas, que j’ai eu de chagrin à épancher le flot de mes larmes, et de tourments pour que mes plaintes permettent à tes mânes de trouver le repos ! Que ma peine pourtant s’évapore : tu survivras, Moreau, par le meilleur de toi, car ta renommée ne saurait mourir ! »