De Hugues II de Salins, le 3 mars 1657

Note [7]

V. notes [1], lettre 80, pour Guillaume Plancy (Plantius), neveu et secrétaire de Jean Fernel, et [13], lettre 88, pour les Éloges de Scévole i de Sainte-Marthe. Celui de Fernel se trouve dans le livre i, pages 104‑106, de l’édition française de 1644 (v. note [13], lettre 88), avec ces deux mémorables remarques :

« Ce grand et admirable génie eut un avantage qui depuis plusieurs siècles n’est arrivé, ce me semble, à pas un homme du monde, pour docte et pour célèbre qu’il ait été : c’est que de son vivant et en sa présence même, il vit lire dans les écoles publiques les divers traités qu’il avait composés sur toute la médecine […]. Comme il prenait à Paris le soin de visiter et de guérir les malades, il fit si bien ses affaires dans cette utile fonction qu’il se guérit lui-même de la pauvreté. »


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Hugues II de Salins, le 3 mars 1657, note 7.

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(Consulté le 25/04/2024)

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