De Charles Spon, le 15 mai 1657

Note [5]

« et je n’ai en effet pas tant de loisir que je puisse me distraire de mes affaires. »

V. note [5], lettre 551, pour Esculape, dieu de la médecine et nom qu’on donnait quelquefois (et souvent par ironie) à un médecin en renom.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Charles Spon, le 15 mai 1657, note 5.

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(Consulté le 23/04/2024)

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