V. note [2], lettre 359, pour François Duport, doyen de la Faculté de médecine de Paris (1604-1606), qui, comme Charles Spon, avait le goût de mettre les textes médicaux grecs en vers latins.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Charles Spon, le 15 janvier 1658, note 7.