De André Falconet, le 13 février 1658
Note [5]
Cette description du ventricule gauche évoque un infarctus étendu du myocarde, mais la maladie coronaire (v. note [8], lettre 725) qui en est ordinairement responsable n’avait pas encore été nettement caractérisée à l’époque. Les onze jours de « fièvre ardente maligne » qui ont précédé la mort et les importantes lésions viscérales diffuses laissent néanmoins planer un sérieux doute sur ma tentative de diagnostic rétrospectif.