De Christiaen Utenbogard, le 21 août 1656
Note [37]
Libre adaptation de la Deuxième épître de Pierre (2:10) ; en bon calviniste, Christiaen Utenbogard n’a pas puisé dans la Vulgate (v. note [6], lettre 183), mais dans le Nouveau Testament de Théodore de Bèze :
« par cupidité, nous corrompront de leurs discours frelatés ; qui, dans un appétit de souillure, recherchent les plaisirs charnels et méprisent l’autorité du Seigneur ; qui, présomptueux et arrogants, ne craignent pas d’injurier ; pires que Lucifer en personne. »