De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651

Note [12]

« C’est un remède divin qui guérit sûrement, rapidement et heureusement [devise attribuée à Asclépiade de Pruse (v. note [42] du Patiniana I‑3)]. »

La démonstration arithmétique (« statistique ») qui mène à cette belle conclusion est pour le moins confuse, mais ma transcription est fidèle. La précision la plus intéressante est que Bineteau disait ici avoir pratiqué la médecine à Paris depuis trois ans.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651, note 12.

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(Consulté le 25/04/2024)

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