« il appartient au bourreau, et même au tortionnaire, mais non pas au médecin, de faire couler le sang humain et le répandre à profusion ».
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De Julien Bineteau, le 1er octobre 1651, note 9.