Partie des études et de l’enseignement qui, selon Littré (DLF), groupait la grammaire, l’éloquence et la poésie. C’était le sens qu’entendait aussi Guy Patin, mais Furetière n’était pas de même avis : « On appelle les lettres humaines, et abusivement les belles-lettres, la connaissance des poètes et des orateurs ; au lieu que les vraies belles-lettres sont la physique, la géométrie, et les sciences solides [fondées sur des principes fermes et démonstratifs, par opposition aux sciences vaines, comme la chiromancie ou l’astrologie judiciaire]. »
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