À Claude II Belin, le 7 décembre 1632, note 1.
Note [1]

Juste Lipse (v. note [8], lettre 36), Epistolarum selectarum Chilias [Millier de lettres choisies] (Avignon, 1609, v. note [12], lettre 271), lettre xxxi, centurie i, page 36, à Theodorus Leewius (v. note [7] des Triades du Borboniana manuscrit) :

Ita certe oportuit, in viam, inquam, officii redire, a qua exorbitavimus uterque nimium diu, non negligentia aliqua, ut scio, aut contemptu : sed fortasse dulcedine cessationis, et fiducia amoris. Id enim de me fateor ; de te opinor.

[Il a ainsi certainement fallu, dirais-je, me remettre dans le chemin du devoir, d’où nous avons tous deux dévié depuis bien trop longtemps, non, que je sache, par quelque négligence, ni par mépris, mais peut-être pour le charme de la lenteur et la confiance que donne l’amitié. Pour moi, du moins, je l’avoue ; et pour vous, je le crois aussi].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Claude II Belin, le 7 décembre 1632, note 1.

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(Consulté le 13/12/2024)

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