À Charles Spon, le 22 mars 1648, note 1.
Note [1]

Cette longueur annoncée, quand on la compare à ce qui nous en est resté, fait percevoir une fois de plus l’ampleur des amputations qu’ont subies les lettres éditées au début du xviiie s. Quatre pages (deux feuillets) représentent exactement la longueur manuscrite de la lettre dont Guy Patin entamait ici l’écriture.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 22 mars 1648, note 1.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0152&cln=1

(Consulté le 16/04/2024)

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