Note [1] | |
« L’opiniâtreté de votre maladie m’épouvante » : Terret me hæc tua tam pertinax valetudo (Pline le Jeune, Lettres, livre vii, début de la lettre i à Restitutus). Neveu de Pline l’Ancien, le naturaliste (v. note [5], lettre 64), Pline le Jeune (Caius Plinius Cæcilius Secundus, Côme 61 ou 62-vers 114) mena une carrière sénatoriale qu’il couronna par le gouvernement de Bithynie. Il a laissé dix livres de Lettres et un Panegyricus de l’empereur Trajan. La note [46] du Borboniana 7 manuscrit (4e citation) donne un bel exemple de son admirable talent littéraire (et médical). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 6 mars 1650, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0220&cln=1 (Consulté le 03/12/2024) |