Note [1] |
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« Je n’en puis mais pour dire : je n’en suis pas cause, j’en suis innocent, je n’en suis pas responsable » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 21 novembre 1651, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0273&cln=1 (Consulté le 24/09/2023) |