Note [1] | |
« [il n’est aucun homme si sauvage qui ne puisse être adouci] s’il prête une oreille docile aux leçons » (Horace, Épîtres, livre i, lettre 1, vers 40). En date du samedi 13 mars 1660, le doyen Blondel a noté (Comment. F.M.P., tome xiv, fo 515), par ordre de mérite, les noms des 12 candidats qui s’étaient présentés à l’examen du baccalauréat (v. note [17], lettre 596) :
Furent déclarés reçus, le samedi suivant, les dix candidats dont les noms sont écrits en caractères romains. Ni Pochon ni Giblat n’obtinrent jamais leur licence à Paris. Les deux années d’études qui suivaient le baccalauréat représentaient à la Faculté de médecine de Paris la durée incompressible de la préparation à la licence ; dans les autres facultés, comme Montpellier, quelques mois y suffisaient généralement. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 23 mars 1660, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0598&cln=1 (Consulté le 07/12/2024) |