À André Falconet, le 3 mars 1665, note 1.
Note [1]

André Le Fèvre d’Ormesson mourut le matin du 2 mars, 19 jours après sa taille vésicale (v. note [7], lettre 811).

Olivier Le Fèvre d’Ormesson (Journal, tome ii, page 319) :

« Mon frère {a} m’a dit […] qu’il avait beaucoup souffert toute la nuit, se plaignant de douleurs et disant qu’il n’en pouvait plus, mais ayant toujours sa connaissance entière et prononçant des sentences des Psaumes, plein de confiance et de résignation en Dieu […] ; et qu’environ cinq heures, il avait cessé de se plaindre ; avait dit qu’on lui ôtât la bougie qui lui donnait dans les yeux, et qu’un moment après Novion avait vu que ses yeux, qu’il tenait toujours fermés, se renversaient ; qu’ils avaient aussitôt commencé les prières de la mort et qu’il avait rendu l’âme peu après, sans effort. »


  1. Nicolas, père minime (v. note [10], lettre 573).

V. note [6] du Borboniana 9 manuscrit pour l’adage rabelaisien sur l’incurabilité de la vieillesse.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 mars 1665, note 1.

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(Consulté le 12/12/2024)

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