Note [1] |
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C’est une des rares allusions de Guy Patin à la musique : visiblement, la mélodie ne le charmait guère ; on peut même se demander s’il n’était pas affligé d’amusie congénitale ou surdité musicale (défaut qui fait percevoir la musique comme un bruit désagréable). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 10 avril 1665, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0818&cln=1 (Consulté le 06/06/2023) |