À André Falconet, le 10 avril 1665, note 1.
Note [1]

C’est une des rares allusions de Guy Patin à la musique : visiblement, la mélodie ne le charmait guère ; on peut même se demander s’il n’était pas affligé d’amusie congénitale ou surdité musicale (défaut qui fait percevoir la musique comme un bruit désagréable).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 10 avril 1665, note 1.

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(Consulté le 16/04/2024)

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