Note [1] |
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« peu d’hommes, que Jupiter le juste a chéris ou que leur ardente vertu a élevés jusqu’aux nues » (Virgile, v. note [27] des Préceptes particuliers d’un médecin à son fils). Sans le propos de Nicolaas Heinsius qui les a provoquées, les ruminations de Guy Patin sur la médiocrité de ses mérites sont ininterprétables. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolaas Heinsius, le 8 janvier 1647, note 1.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1043&cln=1 (Consulté le 14/10/2024) |