À Johannes Antonides Vander Linden, le 6 juillet 1663, note 1.
Note [1]

V. note [2], lettre latine 246, pour la réticence d’Anne d’Autriche à prendre de l’antimoine afin de soigner sa fièvre prolongée qui désespérait la cour et ses médecins, et qui se révéla bientôt être un prodrome de son cancer du sein (v. note [4], lettre latine 244).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johannes Antonides Vander Linden, le 6 juillet 1663, note 1.

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(Consulté le 12/12/2024)

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