Mollière (page 42) cite à ce sujet une lettre de Siméon Courtaud (v. note [19], lettre 128) à Charles Spon :

« < Il y a un > almanach composé par quelqu’un appelé Lhermite sur la foi duquel j’ai trouvé la recommandation d’un remède fait par M. Meyssonnier, docteur de cette Université. J’ai été très étonné de cette procédure, laquelle est d’un charlatan, et il n’appartient qu’à un ignorant de se faire trompeter de la sorte. »