Note [1] |
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Bien qu’un peu tourmentée, cette phrase confirme qu’une scission s’était faite au sein du Collège de Lyon, pour et contre le trublion Bonaventure Basset : Henri Gras, désormais vice-doyen, lui avait confirmé son soutien (v. note [21], lettre de Charles Spon, le 10 juillet 1657), quand les autres (Guillemin, Spon, Falconet) persistaient dans leur opposition à sa réception. Il revenait à Guy Patin de prendre parti. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
De André Falconet, le 14 août 1657. Note 1
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